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1.
Nutrition Clinique et Metabolisme ; 37(2 Supplement 2):e71, 2023.
Artículo en Inglés | EMBASE | ID: covidwho-2314240

RESUMEN

Introduction et but de l'etude: The intensity and duration of the catabolic phase in COVID-19 patients might differ between survivors and non-survivors. The purpose of the study was to assess the association between nitrogen-balance trajectories and outcome in critically ill COVID-19 patients. Materiel et methodes: It is a retrospective monocentric observational study, achieved into the intensive care unit of the University Hospital of Clermont-Ferrand, France. Patients admitted to intensive care from January 2020 to May 2021 for COVID-19 pneumonia were included. Patients were excluded if referred from another ICU, if their ICU length of stay was < 72 h, or if they were treated with renal replacement therapy during the first seven days after ICU admission. Data were collected prospectively at admission and during ICU stay. Death was recorded at the end of ICU stay. Comparisons of nitrogen-balance time course according to outcome were made using two-way ANOVA. At days 3, 5, 7, 10 and 14, uni and multivariate logistic regression analyses were achieved to assess the impact of a non-negative nitrogen-balance on ICU death. At Days 3, 5 and 7, to represent the relationship between nitrogen-balance and protein intakes, linear and non-nonlinear models were run and the protein intakes necessary to reach a zero nitrogen-balance were determined. Subgroup analyses were carried out by BMI, age, and sex. Resultats et analyses statistiques: Ninety-nine patients were included. At Day 3, similar negative nitrogen-balances were observed in survivors and non-survivors: -16.4 g/d [-26.5, -3.3] and -17.3 g/d [-22.2, -3.8] (P = 0.54). The trajectories of nitrogen-balance over time thus differed between survivors and non-survivors (P = 0.01). In survivors, nitrogen-balance increased over time, whereas in non-survivors, nitrogen-balance decreased from Day 2 to Day 6, and thereafter increased slowly up to Day 14. At Day 5 and 7, a non-negative nitrogen-balance was protective from death. Administering higher protein amounts was associated with higher nitrogen-balances. Conclusion(s): We report a prolonged catabolic state in COVID patients that seemed more pronounced in non-survivors than in survivors. Our study underlines the need for monitoring urinary nitrogen excretion to guide protein intakes in COVID-19 patients.Copyright © 2023

2.
Néphrologie & Thérapeutique ; 18(5):376-377, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-2007993

RESUMEN

Introduction Les microangiopathies thrombotiques (MAT) sont des maladies rares, menaçant le pronostic vital des patients au vu des atteintes d’organe sévères. Les étiologies des MAT sont multiples : primitives (PTT ou SHUa) ou secondaires (médicament, infection, maladie auto-immune…). Description Nous rapportons le cas d’un SHU au carfilzomib dans contexte de surdosage induit par un traitement par paxlovid pour une infection COVID-19. Méthodes Un patient de 73 ans avec un myélome multiple à chaîne légère kappa, en rémission complète sous traitement par carfilzomib/dexaméthasone reçoit du paxlovid pour une infection à Sars-CoV-2. Il est admis en réanimation 3jours plus tard pour insuffisance rénale oligoanurique requérant l’hémodialyse avec stigmates de MAT (anémie hémolytique avec schizocytes et thrombopénie). Une biopsie rénale est réalisée, confirmant la MAT. Il est conclu à un diagnostic de SHU (syndrome hémolytique et urémique) secondaire à une toxicité du carfilzomib, dans un contexte de surdosage du fait d’une interaction avec le paxlovid (cytochrome P450). La prise en charge a consisté en la suspension du paxlovid et du carfilzomib et l’initiation de l’éculizumab. L’évolution est marquée par l’amélioration progressive de la fonction rénale avec sevrage de l’hémodialyse et disparition des stigmates de MAT. Résultats Plusieurs cas ont été rapportés de SHU induit par le carfilzomib, inhibiteur du protéasome irréversible faisant partie de l’arsenal thérapeutique du myélome. Les hypothèses physiopathologiques sont : une inhibition de la voie NKkB entraînant une baisse du facteur angiogénique VEGF au niveau podocytaire et ainsi une dysfonction endothéliale ;une activation de la voie alterne du complément par diminution de l’expression du CFH chez des patients possiblement prédisposés génétiquement. Le recours à l’éculizumab a permis dans plusieurs cas l’amélioration des stigmates de MAT et de la fonction rénale (Figure 1). Conclusion Un SHU secondaire au carfilzomib dans un contexte de surdosage induit par un traitement par paxlovid semble avoir une évolution favorable sous éculizumab.

3.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S55, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1867530

RESUMEN

Introduction L'atteinte pulmonaire de la CoVID-19 et de la grippe est la principale raison d'admission des patients (pts) en réanimation. Les taux de co-infection et de surinfection chez les pts à risque de PAVM (VM > 48h) justifient de comparer leur devenir chez des pts atteints de CoVID-19 ou de grippe. Matériels et méthodes Une cohorte multicentrique française impliquant 11 services de réanimation a inclus 379 pts CoVID-19 (PCR SARS-CoV-2 positive) à risque de PAVM (VM > 48h) entre février 2020 et octobre 2021 et 93 pts à risque de PAVM atteints de grippe de 2008 à 2021 (recherche de virus grippal positive). Parmi les pts à risque PAVM (VM > 48H), les données démographiques, maladies chroniques, comorbidités, scores SAPSII et SOFA, paramètres biologiques, documentations microbiologiques, types de ventilation, autres supports d'organes, durée d'hospitalisation et mortalité à J60 ont été recueillis prospectivement. Résultats Les pts COVID-19 à risque de PAVM étaient plus souvent des hommes (79 % versus 58 %, p<0.01), plus âgés (63a versus 58a, p=0.05), avaient plus souvent un IMC > 30 Kg/m2 (38 % versus 26 %, p=0,02), un antécédent cardiovasculaire (28 % versus 19 % p<0,01) et une insuffisance respiratoire chronique (29 % versus 13 % p<0,01). Le motif d'admission était principalement une détresse respiratoire aiguë dans les 2 groupes de pts : 72 % des 379 pts COVID-19 ont été ventilés mécaniquement dans les 48H suivant l'admission et 90 % des 93 pts grippés (p=0,01) ; 29 % des pts COVID-19 et 19 % des pts grippés ont reçu des corticoïdes (p=0,03). Chez 379 pts CoVID-19, 234 épisodes de PAVM ont été identifiés contre 36 chez 93 pts grippés. La densité d'incidence de type 1 était de 32 pts avec au moins 1 PAVM / 1000 jours de VM chez les pts CoVID-19 contre 17 pour les pts grippés. La densité d'incidence de type 2 était de 25 épisodes de PAVM / 1000 jours de VM chez les pts CoVID-19 contre 13 pour les pts grippés. Les causes de PAVM étaient des cocci à gram positif (CGP) chez 65 (28 %) pts CoVID-19, 2 (6 %) (p<0,01) chez des pts grippés ; parmi les CGP des pts COVID-19, 10 % SARM, 50 % SAMS, 10 % pneumocoques. Chez les pts CoVID-19, 195 (83 %) BGN ont été isolés lors de PAVM, dont 142 (61 %) entérobactéries (32 % étaient résistantes à au moins une C3G), 57 (24 %) Pseudomonas aeruginosa. Pour les pts grippés, 18 (50 %) BGN (p<0,01) isolés de PAVM, dont 10 (28 %) entérobactéries (14 % résistantes à une C3G), et 9 (25 %) Pseudomonas aeruginosa. La durée de séjour en réanimation ne différait pas entre les groupes : 16j. La mortalité à J60 était de 45 % pour les pts CoVID-19 et de 23 % (p<0,01) pour les pts grippés. Elle était plus fortement corrélée à la survenue d'une PAVM chez les pts COVID-19 que chez les pts grippés (HR : 3,1 (1,1 – 9), p<0,01). Conclusion La mortalité à J60 et l'incidence des PAVM sont plus élevées chez les patients CoVID-19 que chez les pts grippés avec une surmortalité fortement accrue liée aux PAVM chez les pts CoVID-19, surtout associées à des entérobactéries, résistantes dans près d'un tiers des cas à au moins une C3G. Aucun lien d'intérêt

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